This "doctor" is a sick misogynistic psycho. If you want your kid's safety, avoid him at all costs. This man almost cost me my life, and robbed me of the chance to recover quickly and live my teenage years. There is no word to describe the type of disgust I feel whenever I think of him. I've had my fair share of doctors, but this one is the one that I truly feel had no intention to help me. I actually feel like this man fed off teenage girls's pain and suffering. He is far from a doctor, the only thing that he is is a predator who uses the medical system to be able to abuse young girls. This man is dangerous. Avoid him or any doctor who associates with him.

Submitted Oct. 5, 2020

Dans ce temps-là, j’avais 16 ans et rien n’allait plus. Je ne voulais plus me lever, pratiquer mon sport qui était ma passion était devenu une corvée pour moi, mes relations plantaient, mes parents ne me comprenaient pas alors j’ai été référé à cet homme. Je n’ose même pas dire médecin, parce qu’il ne mérite pas ce titre, c’est même à se demander comment il l'a obtenu. J’arrive dans l’aile psychiatrique de Sainte-Justine et j’ai peur parce que je ne suis pas à l’aise de parler de comment je me sens aux autres à cette époque-là de ma vie. Il arrive 30 minutes après le début du rendez-vous et je commence à stresser. Il me fait un signe de la main et ne regarde même pas ma mère en passant à côté d’elle. Mes deux parents étaient présents et je réalise avec le temps que c’est eux qui m’ont réellement sauvé. Je raconte mon histoire, mes parents donnent leur point de vue. Mes parents se sont séparés quand j’avais 7 ans et dès qu’il a obtenu cette information, il m’a dit que tous mes problèmes partaient de là. Alors moi, jeune fille en quête de réponses et de solutions, je me dis qu’il a raison. Je quitte mon rendez-vous en réalisant que j’ai une maladie mentale à cause de mes parents. Selon lui, j’étais bipolaire. Ma mère trouvait que 30 minutes ce n’était pas suffisant pour pouvoir poser un diagnostic adéquat. Je quittais Ste-Justine avec une prescription à la main, la tête remplie d’angoisse et d’incertitudes. La première médication me rendait tellement triste, je pleurais toujours, je ne mangeais plus et je ne dormais pas la nuit. Ma mère voyait bien que mon état s’aggravait, alors elle a repris un rendez-vous avec lui. C’est la que le fun commence. Dès notre arrivée, Maranda demande à ma mère de sortir du bureau. Je me souviens encore de ses yeux quand il m’a dit d’arrêter de jouer un jeu, que c’était seulement une excuse pour manquer de l’école et pour attirer l’attention. Je ne sais pas si j’étais profondément triste, ou tout simplement royalement insultée, ça doit être un mélange des deux. Quand ma mère est revenue, elle a tenté de lui expliquer ce qui se passait et il revenait toujours sur la même chose: Madame, votre passé hante celui de votre fille et la séparation ne l’a pas aidé. Bref, après trois rencontres, des médications qui aggravaient mon état, il m’a prescrit du lithium. Du lithium, c’est ce qu’on met dans les batteries et c’est le médicament qu’on utilise pour traiter des épisodes maniaques du trouble bipolaire. Ma mère a regardé Maranda et lui a dit qu’après tous les diagnostics non concluants qu'il était impossible qu’elle me laisse prendre ça. Il a rit et elle est sortie en me disant qu’elle m’attendait l’autre côté de la porte. Au moment où je ramassais mes trucs avant de partir, il m’a regardé et m’a dit de faire attention avec le lithium parce que si je prenais toute la bouteille, c’était la fin. Mais quel genre de médecin dit ça? François Maranda devrait perdre son droit de pratique. Si vous voulez aller voir quelqu’un et que vous avez besoin d’aide, je vous conseille de chercher ailleurs.

Submitted Sept. 30, 2020

Horrible experience. A l’âge de 16 ans, j’ai fait une crise dhyperventilation mélangé à un choc vagal. Je me suis réveillée à l’hôpital intubee de partout. On m’apprend qu’on m’avait fait une ponction lombaire. Tous mes résultats annonçaient que j’étais en bonne santé, on m’a donc fait voir le psychiatre. J’étais alors mal en point, maux de tête, vomissements, étourdissements, j’avais du mal à me concentrer pour répondre à ses questions. Plus tard, il me convoque de force dans une salle, je n’avais pas de force pour me tenir sur ma chaise roulante, où j’entends son diagnostic avec mes parents. Son verdict: Je suis une actrice, je cherche de l’attention, justifié par le fait que je suis la plus jeune dans la famille et que j’aime faire du théâtre à l’école. Il demande à mes parents de m’ignorer et de cesser de m’accorder tant d’attention et signe un document pour cesser mon hospitalisation. Les semaines qui ont suivis furent les pires de ma vie, j’étais terriblement malade, je n’avais plus contrôle de mon corps et c’est lorsque j’ai commencé à voir double qu’on m’a retourné à l’hôpital. Verdict: La ponction lombaire avait transféré ma moelle épinière et avait causé une fuite de liquide céphalo-rachidien qui causaient tous mes problèmes (vomissements, étourdissements, maux de dos, de cou et de tête). Bref, horrible diagnostic pour une adolescente de 16 ans de la part d’un professionnel comme Dr Maranda. Aucune compassion, ni écoute. Je lis les autres commentaires à son sujet, et je trouve horrible qu’il pratique encore sa profession. 15 ans plus tard, cette expérience me marque encore l’esprit et depuis, j’ai toujours douté de l’approche des psys à mon égard.

Submitted July 12, 2020

Pitié quelqu un doit à tout prix lui dire d arrêter d exercer. Je n ai jamais vu aussi mauvais psychiatre.

Submitted June 4, 2020

il m'a diagnostiquee bipolaire a l'age de 16 ans, 6 mois apres la mort soudaine de mon meilleur ami. sous pretexte que je lui ai dit que des fois ca allait bien et tout d'un coup ca allait plus bien. ( j'etais adolescente et en deuil). j'ai ete internee a ste justine pendant 3 semaines ou on m'a donne des medicaments qui n'ont qu'empires mon cas, quand ma mere a la rappele en panique car je m'enfoncait encore plus il a dit par telephone que j'etais surement <<juste anxieuse>> dans le fond, et m'a prescrit d'autres medicaments a la place. lire tout les commentaires ici me fait realise avec effroi que je ne suis pas la seule dans mon cas. 15 ans plus tard et beaucoup de therapies plus tard, je suis encore en colere par l'incompetence de ce pedopsychiatre. j'ai recupere mon dossier il y a quelques annees de ca et cest inconcevable qu'on puisse penser que j'etais un cas de bipolarite.

Submitted May 25, 2020

Terrible doctor. Makes you even more depressed. More suicidal. Says everything is your fault. Do not see him. Run away. Spent 2 hours with this incompetent pathetic excuse for a doctor. Should have his license revoked. How did he even get it in the first place. DANGER PUBLIQUE. devrait être renvoyer de l’hopital TOUT DE SUITE. FIRE THIS GUY ASAP.

Submitted Sept. 9, 2019

me and a lot of people had to suffer with Maranda. he made so many of the people i know more suicidal than we were before. he diagnosed us with bipolarity. he just forcefed us pills that made us hallucinate. please for the love of god do not see him

Submitted Sept. 5, 2019

Jai passé 1 semaine en dedans sous la supervision du dr maranda lorsque j’avais 16 ans. Je peux dire qu’il niaise pas avec la puck. J’étais déjà suivi par ses collègues 6 mois qui ne savaient pas quoi faire avec moi. Il a tranché apres analyse de mon dossier que j’etaiS inadmissible, que je devais foutre le camp et qu’il me barrerais de l’hôpital si j’avais pas le patient du département de gastro. Un dr qui se laisse pas manipuler, autoritaire respecté par ses collègues. De la compassion s’il en as il la porte pas sur son bras. Il a aussi demander à mon chirurgien de performer hâtivement une chirurgie pour laquel j’étais en attente. Le chirurgien Michel lallier à accepter de M’opérer 2 semaines plus tard.

Submitted Feb. 11, 2019

Cet horrible médecin nous a dit que nous étions responsables de l’état de notre adolescent car nous étions alliénant du fait que nous ne le laissions pas voir sa mère, mère qui l’a rendu dépressif et qui a abusé de lui. Selon ce médecin il a besoin de sa mère aussi disfonctionnelle qu’elle soit et même s’il ne veut pas la voir nous devrions le forcer. Lorsqu’on lui parle du manque d’estime de soi qu’il ressent, ce médecin me répond que ce n’est pas alarmant car on bâti notre estime de soi sur toute une vie et d’en manquer présentement n’est pas inquiétant même s’il songe au suicide et se mutile. Car selon lui notre fils n’est pas suicidaire, il a retirer sa tuque pendant l’entrevu, signe qu’il a un bon état d’esprit. Il nous a également recommandé de chercher un autre thérapeute que celui qui le suit depuis 1 an car c’est un incompétent qui devrait l’incite à avoir des contacts avec sa mère peu importe le désir de l’enfant et que la mère ne collabore pas aux rencontres supervisées car il manque quelque chose à sa vie et que parce qu’il ne fait pas ça il alliène l’enfanti contre sa mère. C’est tout juste s’il ne nous reproche pas de ne pas être allés chercher la mère chez elle de force. Il ne comprend rien à la situation et il pense tout connaître. C’est un con déguisé en psychiatre et avoir lu tous vos commentaires nous ne serions jamais allés le voir lui. Si j’osais, je psychanalyserais ce médecin en disant qu’il a clairement manqué d’amour dans sa vie, celui de sa mère surtout voilà pourquoi il privilégie les contacts mère-enfant peu importe que ça nuise à l’enfant plus que ça n’aide. Et j’ajouterais qu’il ne s’est jamais octroyé le droit à la faiblesse comme de penser au suicide alors il méprise ceux qui y pensent, tente de le faire ou qui déprime. Tout ce que notre adolescent a retenu de cette rencontre c’est que c’est lui qui est dans le tord et que son avis ne compte pas. Il sent que ce médecin veut le contraindre à revoir sa mère. Il ne comprend pas et il commence à douter de son thérapeute à cause des propos de ce médecin envers ce thérapeute.

Submitted Dec. 27, 2018

La fille de mon conjoint a de graves problèmes d’humeur. Elle pique ses crise, entend des voix, parle toute seule, est dépressive au point de refuser de sortir du lit des jours entiers, ne mange qu’un seul repas par jour. De plus elle a subit des attaques verbales et physiques de la part de sa mère qui l’on traumatisé au point où elle refuse tout contact avec sa mère car elle a peur de sa mère et des réactions de celle-ci. Son médecin et son psychologue nous ont référés en pédopsychiatrie. Manque de chance pour nous le seul qui traite les ados de plus de 14 ans c’est l’incompétent Dr Maranda. Il nous a reçu avec 1/2 heure de décalage à 8h le matin.Aucun respect pour nous. Durant l’entretien, il n’a focusé que sur le fait qu’elle ne parlait plus à sa mère. Il lui a dit qu’elle n’était pas malade et que tous ses symptômes étaient dû au fait qu’elle ne voyait plus sa mère et que ça laisse un vide. Sa mère est TPL et elle détruit sa sœur à chaque contact. Elle n’est pas dans un état d’esprit idéal pour revoir la plus jeune. Cette abhération de la psychiatrie s’est permis de nous dire que la psychologue de notre fille faisait de l’aliénation parentale contre la mère sous prétexte que selon lui elle n’aurait jamais dû permettre de couper les liens avec la mère même momentanément. Et il en rajoute en nous accusant aussi d’aliénaction car nous devrions selon lui couvrir les conneries et méchancetés que fait la mère et lui trouver des excuses pour ne pas briser l’image positive que l’enfant a de sa mère. Finalement nous avons une ado malade qu’il juge non malade, elle devrait voir sa mère même si elle n’est pas prête, la psychologue qu’on a est incompétente et c’est nous les mauvais parents. Il nous a juger et peu importe ce qu’on essayaient de lui dire il ne nous écoutait plus car son idée était faite. Une fois je lui ai dit « vous ne me comprenez pas » et il a eu l’audace de me répondre « au contraire je vous comprends trop bien » et il a recommencé à se parler tout seul sans m’écouter. Ceux qui trouvent le Doc Mailloux heavy, c’est un enfant de cœur à côté de Maranda. J’ai lu tous vos commentaires. Ceux qui ont du positif à dire, félicitations la médication qu’il prescrit altère votre jugement. Et les autres, je vous encourage tous à dénoncer ses méthodes et ses pratiques. Peut-être que s’il a assez de plaintes contre lui le collège des médecins décidera de le radier pour faute grave. Manquement à la déontologie : poser un diagnostic arbitraire en moins de 20 minutes, erreurs de diagnostic, parler contre un confrère, encourager au suicide et à la consommation de drogues récréatives, internement abusif, dénigrement du patient pouvant conduire au suicide, non assistance à une personne en détresse psychologique ou suicidaire. À en croire cette honte de la psychiatrie, je devrais attendre les bras croisés pendant que notre fille va mal et risquer qu’elle s’enfonce encore davantage au point de commettre l’irréparable ? De loins le pire médecin jamais vu, une honte pour sa profession et qu’il soit le seul à consulter.

Submitted Dec. 19, 2018